Za Camion
Pop Rock Sexy Songs
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Tu mords, tu griffes
La ville
Viens dans ma soucoupe
Comme un réverbère
Vous voir nu
XVIIème
Mesure-moi
Quelqu'un quelque part
Sandy Put
« Si vous aimez la glisse,
La rondeur de mes cuisses »
Pour en savoir un peu plus sur cette femme (pas) comme les autres : www.sandyput.com
Comme un réverbère
« Car je sais que tout c'que j'sais
N'est pas très clair »
Quelqu'un quelque part
« Je veux quelqu'un quelque part,
Même si c'est un peu loin,
Même quand je rentre tard »
XVIIème
« Je voudrais m'envoyer en l'air
Mais j'n'ai jamais su comment faire »
Montage : Johanne Du Fox
6 extraits du nouveau projet "Les larmes de l'été :
Morder la vida
Le relèverai la tête
Le relèverai la tête
Ultime départ
Les larmes de l'été
Un amour infini
La cabine
Même si la campagne Ulule est terminée et a été un franc succès, vous pouvez encore profiter du teaser concocté pour l'occasion ;-)
https://fr.ulule.com/album-zacamion/
Quelques paroles signées Za Camion
Elle compose parfois seule, parfois avec l'aide d'amis musiciens, mais tous les textes sont écrits de sa plume.
VOUS VOIR NU
Je me sens un peu hébétée
Un peu décalée,
J'avais bien quelque chose à faire.
Mais oups
Je ne me souviens plus,
Peut-être que je suis venue,
Venue pour vous voir nu.
VIENS DANS MA SOUCOUPE
A bord de mon objet volant
Il va falloir descendre encore
Pour voir l'Homme croquer la pomme
Assis sur ses certitudes
Il va falloir descendre encore
Allez viens prendre le thé
Viens, dans ma soucoupe
D'ici on voit la mer
MESURE-MOI
Je suis là devant toi pour que tu me dessines,
Tu me dis prends la pose, surtout ne bouge pas
Et je reste immobile, déjà comme une image,
Sans un battement de cils , je suis là toute à toi.
LA VILLE
Ce jour d'hiver,
Paris ressemble à Londres.
Même lumière sur le boulevard Rochechouart
Même dans la foule nous sommes seuls au monde,
Je pense à toi où que tu sois, où que tu sombres.
J'aime et je naime pas la ville
Incroyable mélange de tous les sentiments humains
J'aime et je naime pas la ville
Incroyable silence au coeur de la fureur de vivre.
COMME UN REVERBERE
A la nuit tombée s’allument
Toutes les lunes sur le pavé.
Leurs ombres descendent sur nous.
Immobile dans le clair obscur,
J’attends toujours l’étincelle,
En restant plantée là , j’ai l’impression..
D’être un réverbère qui attend qu’on l’éclaire
Car je sais, sur tous descendra la lumière,
Car je sais, que tout c’que je sais n’est pas très clair.
Comme un réverbère.
QUELQU'UN QUELQUE PART
Tu m'attires tu te tires
Et je me laisse envahir par ton dernier soupir.
Je veux quelqu'un quelque part....